RIVAGES CULTURELS
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Acronyme Éditions lance son site internet
https://www.acronymeeditions.com
Acronyme est une maison d’édition courbevoisienne fondée en 2024. Elle a inauguré son activité en publiant trois recueils au sein de la collection Poésie contemporaine illustrée. En 2025, la maison a élargi son catalogue en créant deux nouvelles collections : Littérature contemporaine illustrée et Patrimoine littéraire illustré, et a publié cinq nouveaux titres dans ces catégories.
À travers ses collections Littérature contemporaine et Poésie contemporaine, Acronyme Éditions publie des textes inédits, portés par l’émotion et la sensibilité propres à chaque auteur.
Jean-Claude Beaumesnil,
récemment honoré de multiples prix
Site : http://jean-claude-beaumesnil.com
Entretien : Cliquez sur l'image
Autodidacte passionné, formé aux Ateliers Beaux-Arts de la Ville de Paris et au Centre culturel de Courbevoie, il a également perfectionné son art lors de stages auprès d’artistes reconnus tels que Maryse Demay, Marc Folly ou Sonia Privat.
Voici un paragraphe fluide et correctement formulé :
Attiré depuis toujours par les pinceaux malgré une carrière entière passée dans l’informatique, Jean-Claude Beaumesnil a pleinement libéré sa créativité au moment de la retraite. De l’aquarelle à l’acrylique puis à l’huile, il jongle aisément avec les couleurs et les lumières pour exprimer ses émotions, inspiré par ses voyages et par la Normandie de son enfance.
Autodidacte passionné, formé aux Ateliers Beaux-Arts de la Ville de Paris et au Centre culturel de Courbevoie, il a également perfectionné son art lors de stages auprès d’artistes reconnus tels que Maryse Demay, Marc Folly ou Sonia Privat.
Coutumier des récompenses, Jean-Claude Beaumesnil a très récemment ajouté de nouvelles distinctions à son palmarès. Fidèle à une démarche artistique exigeante et en constante évolution, il continue d’attirer l’attention des jurys par la force de ses couleurs, la sensibilité de ses portraits et la poésie de ses paysages.
Sarah Masson : « Désexister »
Les Carnets du Dessert de Lune
https://dessertdelune.com
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j’existe
je crois que j’existe
je ne suis pas tout à fait sûre
partons du principe que j’existe
il y a comme une persistance tenace de l’existence
quand on commence on a du mal à s’arrêter
tous ces gens qui existent tout le temps partout
invisibles nuisibles
tangibles
cette pierre qui existe ce galet ce scolopendre
cette feuille de chêne brisée
tous ces êtres qui existent et se répandent…
Sarah Masson vit au Havre. Elle est autrice, performeuse et réalisatrice radio. En février 2020, elle publie son premier roman, Le Silence après nous, chez JC Lattès. Parallèlement, elle expérimente d'autres formes d'écriture, poésie, théâtre et performance. Elle conçoit l'écriture comme un art vivant et oral. C'est pourquoi elle a toujours mêlé écriture et radio. Collaboratrice régulière de France Culture, elle réalise également des podcasts. Elle donne plusieurs ateliers d'écriture et de radio auprès de différents publics (scolaires et adultes en réinsertion). Désexister est son premier recueil de poésie.
Christian Manicourt : entre mots et couleurs
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Journaliste professionnel de formation, Christian Manicourt a d’abord suivi des études littéraires avant d’exercer dans divers domaines du reportage (régional, national et international) à Lille, Dijon, Reims et Metz, et de rejoindre la Franche-Comté en 1990. Depuis son départ à la retraite, il consacre une part essentielle de son temps à la peinture, l’une de ses passions de toujours. Dès son plus jeune âge, il a aimé dessiner, peindre et fréquenter les musées, en France comme à travers l’Europe, d’Amsterdam à Florence, de Madrid à Lisbonne, en passant par Londres, Bruxelles ou Lausanne. Il est également artiste certifié et coté I-CAC.
Les œuvres des grands maîtres ont affiné son regard et nourri sa quête pour comprendre la lumière. Ses premières émotions picturales remontent à la découverte de Théodore Géricault et de son Officier de chasseurs à cheval de la garde impériale chargeant, ainsi qu’à Antoine-Jean Gros et son Bonaparte au Pont d’Arcole.
Laurène Vouliot : l’art du détail
Portraits d’apparat aux accents modernes et sensibles
Email : laurene.vouliot@gmail.com
Instagram : @laurenevouliot
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Depuis l’enfance, Laurène Vouliot nourrit une fascination pour le portrait. Très tôt, elle s’exerce au dessin d’après photographie, armée d’un simple stylo-bille bleu.
Ce goût pour la précision s’enracine dès ces premières années, posant les bases d’une pratique patiente et méticuleuse.
Elle explore diverses techniques : gouache, aquarelle, crayons de couleur et découvre enfin le pastel sec qui deviendra le medium de ses premiers portraits hyperréalistes.
Ses premières études se concentrent sur un œil, puis sur l’ensemble du visage. Chaque détail devient essentiel : les cicatrices, le grain de la peau, les marques du visage. Le pastel, avec sa forte pigmentation et la possibilité de superposer les couches, lui permet d’obtenir des nuances d’une grande richesse. Passionnée par les œuvres du passé et les atmosphères d’un autre temps, elle se tourne vers les portraits à l’ancienne, ceux que l’on croise dans les
manoirs ou les châteaux. N’ayant jusque-là dessiné que des visages, cela lui permet d’intégrer les vêtements et les accessoires d’époque à ses compositions. Très vite,
elle se passionne pour la diversité des textures : soies, fourrures et velours et finit par associer au pastel stylos,
Poscas et Promarkers, afin d’apporter éclat et relief à ses créations.
Philip Guston et Raymond Pettibon
Les deux grands noms de l’art américain
AAu Musée Picasso

Karine Teyton, alias KaBé : au cœur de l’hyperréalisme
Site : https://www.artzonegallery.fr/en
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Installée dans le nord de la région lyonnaise, Karine Teyton, connue sous le nom d’artiste KaBé, peint depuis son plus jeune âge. Autodidacte, elle s’exprime principalement à travers la peinture à l’huile, son médium de prédilection, qu’elle travaille dans une approche hyperréaliste en superposant de fines couches de glacis.
Loin de voir dans la lenteur de séchage de l’huile une contrainte, elle y trouve au contraire une liberté : celle de pouvoir travailler ses fondus à l’infini, jusqu’à atteindre une précision quasi graphique. Ses œuvres, souvent centrées sur des sujets zoomés, traduisent une recherche d’émotion plus que de simple reproduction. En modifiant une lumière, une teinte ou un détail, elle insuffle à chaque toile une intensité personnelle et vibrante.
Attirée depuis toujours par l’art du portrait, KaBé a d’abord exploré les visages ethniques avant de s’orienter vers des sujets plus contemporains. Depuis quelques années, elle s’épanouit particulièrement dans le noir et blanc, dont les contrastes et jeux de lumière nourrissent son inspiration.
Son parcours artistique s’affirme à partir de 2018, avec ses premières expositions locales. En 2021, son travail est récompensé par la médaille d’argent de l’Académie des Arts-Sciences-Lettres de Paris, ainsi qu’un prix de Mondial Art Academia.
William Castaño : les nuances de la terre natale
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Né à Montenegro Quindio, en Colombie, William Castaño grandit au rythme des couleurs et des paysages de son pays natal. Très tôt passionné par les arts plastiques, il forge son regard et sa sensibilité à travers l’enseignement et la pratique du dessin et de la peinture. Son parcours artistique s’enracine dans une recherche constante d’équilibre entre rigueur technique et expression poétique.
Installé en France depuis plusieurs décennies, il développe son travail et son enseignement autour d’une même exigence : transmettre le goût du geste juste, la maîtrise de la lumière et la liberté créatrice. Son premier atelier à Argenteuil devient un lieu d’échange et de partage artistique où il forme aussi bien des débutants que des élèves préparant les concours des grandes écoles d’art.
William Castaño a reçu la Médaille de Vermeil de la Société Académique Arts-Sciences-Lettres de Paris, à l’occasion de son 110ᵉ anniversaire, lors du salon de l’Opéra à l’Hôtel Intercontinental de Paris.
Sylvie Ducloux-Lebon : la perfection du trait précis
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Sylvie Ducloux-Lebon, née dans le Val-d’Oise (région
parisienne) en 1956, est passionnée, dès son enfance, par l’art et les métiers d’art. En 1972, elle part étudier à l’École Boulle à Paris, pendant deux années. Ses études doivent malheureusement être interrompues trop tôt. Elle fait ensuite carrière dans l’informatique, mais, à partir
de 1995, elle reprend en parallèle son chemin artistique et participe à de nombreux salons d’art où elle est récompensée à plusieurs reprises. En 2023, la médaille de Vermeil, décernée par l’Académie des Arts-Sciences-Lettres de Paris,
lui apporte une reconnaissance de son travail.
La technique qu’elle pratique principalement est le pastel. Ses sujets de prédilection sont les nus féminins, portraits, maternités, natures mortes, fleurs, animaux,
compositions réunissant souvent l’humain et l’animal.
Elle est plutôt une instinctive, ne suit pas de règles. Elle aime garder sa liberté d’expression. Tout dépend de son état d’âme au moment où elle travaille. Il est aussi très important pour elle d’y mettre ses émotions de l'instant-même, ou bien celles qu’elle a éprouvées dans des souvenirs liés à son sujet.
Alain Borer, le poète aux mille visages
Né le 6 novembre 1949 à Luxeuil-les-Bains, en Haute-Saône, Alain Borer est poète, écrivain-voyageur, romancier, dramaturge, critique d’art et spécialiste d’Arthur Rimbaud. Essayiste et professeur d’enseignement artistique à l’École supérieure des Beaux-Arts de Tours-Angers-Le Mans jusqu’en 2014, il enseigne également la littérature française à l’université de Californie du Sud (Los Angeles) depuis 2005.
Président national du Printemps des poètes de 2001 à 2024, puis président de son comité d’honneur, il dirige aussi le Grand prix de poésie Robert Ganzo (Fondation de France) et l’Association internationale des Amis de Rimbaud. Animateur d’un atelier de poésie NRF chez Gallimard, Alain Borer partage sa vie entre Paris, Los Angeles et Chaumussay, en Touraine du Sud.
Alain Borer fait ses études à Genève, à l’Institut Florimont, où il dirige le journal d’étudiants Le Bateau ivre. En 1970, alors qu’il est en hypokhâgne à Nancy, paraît son premier recueil de poèmes, Fi, chez Parisod, à Lausanne. À Paris, où il poursuit ses études en khâgne au lycée Henri-IV, il invite Denis Roche et les poètes de Tel Quel, dont il fait le sujet d’un mémoire soutenu à Paris VII sous la direction de Julia Kristeva. En 1976, il part sur les traces de Rimbaud en Éthiopie pour le film Le Voleur de feu de Charles Brabant, avec Léo Ferré, diffusé sur TF1 en 1978, et réalise un Rimbaud en cassettes pour Radio France, avec des lectures de Laurent Terzieff.

Le Musée national Picasso-Paris
fête son 40e annniversaire
Le mot de Cécile Debray, Présidente du Musée national Picasso-Paris
Le 28 septembre 2025 marque le 40e anniversaire de la création
du musée national Picasso-Paris en 1985 grâce à la dation historique de la famille Picasso à l'État français, faisant du musée la première référence au monde sur Picasso et son oeuvre. Tout en célébrant cette date anniversaire, le Musée national PicassoParis se projette résolument vers l’avenir, souhaitant s’ouvrir davantage encore
vers les chercheurs, vers le grand public, vers la ville, vers l’international. Pour faire de l’hôtel Salé un musée du XXIème siècle, et répondre aux défis de demain, le Musée national Picasso-Paris souhaite
réaliser, avec le soutien de la famille Picasso, de l’État et de la Ville de Paris, un projet culturel et architectural ambitieux : Picasso 2030.
Picasso 2030 incarne une nouvelle ambition pour le musée : doubler les surfaces d’exposition et offrir un lieu ouvert, vivant et accessible
à tous. Le projet repose sur quatre axes majeurs : la création du premier jardin de sculptures de Picasso, un nouvel espace d’expositions temporaires conçu par un architecte de renom pour accueillir une programmation d’envergure, la valorisation de l’hôtel Salé
avec des espaces d’accueil repensés et des dispositifs de médiation innovants, et enfin, l’implantation d’un Centre d’Études Picasso
de référence au cœur d’un réseau international.
’Empire du sommeil »
Au Musée Marmottan Monet
Première rétrospective consacrée à Henri-Gabriel Ibels (1867-1936), l’exposition remet en lumière un artiste majeur de la fin du XIXᵉ siècle, fondateur des Nabis, dessinateur, lithographe et affichiste surnommé le « nabi journaliste ». Créateur pluridisciplinaire, collaborateur d’André Antoine et enseignant en histoire de l’art et du costume, Ibels s’est illustré autant dans les arts appliqués que dans la presse. Son engagement social, notamment durant l’affaire Dreyfus puis au sein du radical-socialisme, a marqué la postérité. À travers son parcours s’esquisse le portrait vivant d’une époque, entre cafés-concerts, expositions universelles et grands débats de la Troisième République.

Pekka Halonen.
Un hymne à la Finlande
Au Petit Palais
J'usqu'au 22 février 2026
Le Petit Palais consacre une rétrospective à Pekka Halonen (1865-1933), figure majeure de l’âge d’or de la peinture finlandaise. Pour la première fois en France, l’artiste est mis à l’honneur dans une exposition qui s’inscrit dans la continuité du musée, attentif aux grands peintres étrangers ayant trouvé à Paris, à la fin du XIXᵉ siècle, un véritable catalyseur artistique. Élève de Paul Gauguin en 1893, Halonen forge son idéal : célébrer l’âme de la Finlande à travers ses paysages et ses traditions. Originaire de Savonie du Nord, il puise son inspiration dans sa terre natale, qu’il retrouve dans sa maison-atelier de Halosenniemi, près du lac de Tuusula. Là, il peint inlassablement la nature au fil des saisons, notamment les neiges finlandaises qui deviennent son champ d’expérimentation jusqu’aux limites de l’abstraction. Son œuvre, nourrie de modernité et des avant-gardes parisiennes, est présentée au sein d’une exposition réunissant plus d’une centaine de pièces issues de grandes collections finlandaises, en partenariat avec le Musée d’Art de l’Ateneum.

L’artiste et poète chilienne, Cecilia Vicuña, reçoit le Prix Roswitha Haftmann 2025 pour l’ensemble de son œuvre
Depuis les années 1960, Cecilia Vicuña développe une pratique profondément interdisciplinaire – entre peinture, poésie, performance, installation et film – centrée sur la justice sociale, les cultures autochtones, l’écologie et le pouvoir transformateur du langage. Ses installations, souvent réalisées à partir de matériaux bruts (laine, fils, objets trouvés), allient fragilité et puissance pour évoquer la mémoire collective et le souvenir personnel.
Exilée après le coup d’État militaire au Chili en 1973, Cecilia Vicuña a poursuivi son travail entre l’art et l’activisme, affirmant une démarche féministe, anticoloniale et poétique. Son film What Is Poetry to You? (1980), tourné à Bogotá, interroge le sens de la poésie dans la vie quotidienne à travers des témoignages spontanés de citoyens ordinaires, offrant ainsi une vision humaniste et collective de la création poétique.
Olivia Elias : « Ce Mont qui regarde la mer »
Écrire pour nommer l’effacement...
Les éditions Cambourakis :
(Cliquez sur l'image)
Née à Haïfa (Palestine) en 1944, Olivia Elias a vécu sur trois continents. Après une enfance à Beyrouth où sa famille avait trouvé refuge, elle poursuit des études d’économie à Montréal. Elle y vit et y enseigne de nombreuses années avant de s’établir en France au début des années 1980. Traduits en plusieurs langues, ses poèmes paraissent dans de nombreuses revues et anthologies, en France comme à l’étranger. Depuis 2022, la prestigieuse maison de poésie américaine World Poetry Books a publié deux recueils, dont Chaos, Crossing (version augmentée de Chaos, Traversée), finaliste du Sarah Maguire International Prize for Poetry in Translation en 2024.
Par Toufik ABOU HAYDAR :
On peut parcourir le monde entier sans jamais posséder de pays. On peut détenir tous les passeports possibles et rester néanmoins dépourvu d’une identité reconnue, nécessaire pour bâtir un avenir. Le salut ne vient que par la bonne volonté des âmes justes, et souvent, grâce à la parole libérée que seule la poésie sait offrir. Il y a un temps pour tout. Un temps pour faire la guerre, et un temps pour faire la paix. Les enfants de Haïfa connaissent mieux que quiconque ce que représente l’éloignement. Olivia Elias, elle, lutte à sa manière. Par la plume.
Agnès Thurnauer. Correspondances : dialogues avec le XVIIIe siècle au Musée Cognacq-JayCes mots légers comme une brise printanière
Musée Cognacq-Jay
Le Musée Cognacq-Jay présente un dialogue inédit entre l’œuvre d’Agnès Thurnauer et l’art du XVIIIe siècle. Jusqu’au 8 février 2026, l’exposition offre un nouvel éclairage sur cette période et révèle sa résonance contemporaine. L’artiste y engage une correspondance vivante avec des figures telles que Boucher, Fragonard, Canaletto, mais aussi avec Vigée Le Brun, Labille-Guiard, Angelica Kauffmann, Madame de Staël ou Émilie du Châtelet.
Artiste franco-suisse née en 1962, Agnès Thurnauer vit à Paris et travaille à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Diplômée de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs en 1985, elle est représentée par la galerie Michel Rein (Paris-Bruxelles). Le langage – fondement de la relation à l’autre, intime ou sociale – constitue la colonne vertébrale de son travail. Par séries ouvertes qui se répondent, elle tisse figure et abstraction, texte et image, dans un rapport performatif à l’espace du tableau.
Agnès Thurnauer a présenté de nombreuses expositions monographiques en France et à l’étranger : Palais de Tokyo (2003), SMAK en Belgique (2007), LAM et musée Matisse (2022), musée d’art moderne de Fontevraud (2023) et musée des Beaux-Arts de La Chaux-de-Fonds (2025). Ses œuvres appartiennent à plusieurs collections publiques, dont le Centre Pompidou, le musée de l’Armée, le musée national de l’Histoire de l’immigration, les musées des Beaux-Arts de Nantes, Angers et Unterlinden, le Fonds d’art contemporain – Paris Collections, ainsi que les FRAC Bretagne, Auvergne et Île-de-France.
Commissariat : Saskia Ooms, attachée de conservation, et Agnès Thurnauer.
Lydia Padellec : Celui que l'on nommait
L’art de transformer l’émotion en lumière cristalline
Site de l'éditeur : cliquez sur l'image
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Lydia Padellec est née à Paris le 8 juillet 1976. Après des études de lettres modernes, elle a choisit de vivre en poésie . Publiée dans plusieurs revues depuis 1999 (Incertain regard, Poésie/première, N4728, Mange Monde, Gong, Arpa...) elle anime des ateliers d'écriture et d'art plastiques dans les écoles, les médiathèques, les maisons de quartier. Elle participe à des lectures publiques avec les Poètes d'ici de 2006 à 2009. En 2001, elle découvre le haïku à travers l'œuvre des grands maîtres japonais. Publiée dans de nombreuses anthologies en France et à l'étranger, elle a pratiqué chaque mois le kukaï de Paris (2007-2013) et lance en 2014 son propre kukaï à Port-Louis en Bretagne.
Née en 1995 entre les Landes et le Nord. Depuis plusieurs années, elle consacre la majeure partie de son temps à l’édition et à la promotion de la poésie contemporaine, notamment au sein des Éditions Bruno Doucey. En 2024, elle y publie l’anthologie Érotiques – 69 poétesses de notre temps. Parallèlement, elle codirige la maison d’édition associative 10 pages au carré. Certains de ses poèmes ont paru dans des revues ou des anthologies. Elle a publié, aux éditions La Margeride, Des hortensias à la place des poumons en 2023 et Mes mains malgré moi en 2025.
Ariane Lefauconnier : Mes mains malgré moi
Dans la collection Connivences, aux Éditions de la Margeride
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Frédéric Boirie : « Lauréat du Palmarès »
Une rencontre décisive avec Richard Gauduchon
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Fred Boirie est un peintre français contemporain qui s'est lancé dans un parcours artistique remarquable en 2019, plus tard dans sa vie, déclenché par une rencontre fatidique avec son ami et mentor, Richard Gauduchon. Sous la direction experte de Gauduchon, Fred a trouvé un but et une direction renouvelés dans sa passion pour la peinture, une activité qui a toujours occupé une place particulière dans son cœur.
L'engagement de Fred Boirie envers son métier est inébranlable, puisqu'il continue d'écouter avec diligence les précieux conseils que lui prodigue Richard Gauduchon. La peinture et le monde vibrant des couleurs ont été des sources durables de fascination et d’inspiration tout au long de sa vie.
Son objectif artistique est de capturer l'essence de l'environnement de sa région, en créant habilement des personnages qui prennent vie grâce à l'interaction de la lumière et de l'ombre. Dans son art, Fred cherche à transmettre la profondeur de ses émotions, en s'appuyant sur des souvenirs d'enfance précieux qui constituent une source abondante de créativité et de perspicacité. Le parcours artistique de Fred Boirie n'est pas passé inaperçu puisqu'il a été ponctué d'une série de succès et de distinctions.
Erick Millet, d’origine bretonne et normande, vit aujourd’hui dans le Midi. Sans formation artistique, il s’est forgé seul un univers pictural tourné vers la mer. Bien qu’il ne soit pas marin et qu’il connaisse peu l’océan, il en explore inlassablement les reflets, les mouvements et la force. Peindre une mer déchaînée, un bateau en tempête ou un pont de voilier baigné de lumière est pour lui à la fois un défi et une évasion. Ses toiles invitent à une véritable balade en mer, entre émotion et liberté. Erick Millet a obtenu le Prix de la Légion d’Honneur à Draguignan. L’Académie des Sciences, Arts et Lettres de Paris lui a attribué la Médaille de vermeil en 2004, puis la Médaille d’or en 2022. À l’étranger, il a obtenu deux plaquettes d’or au Salon international de Girona (Espagne), ainsi que deux grandes médailles d’or et quatre médailles d’or dans la catégorie Peinture au Salon MCA International de Cannes. Erick Millet a remporté une quarantaine de médailles d’or, plaquettes d’or, coupes et premiers prix lors de salons internationaux à Cannes, Girona (Espagne), Port-Ca margue, Castillon-du-Gard, Uzès, Ramatuelle, Draguignan, Paris, Rome (Italie), Pier relatte, Cassis, et bien d’autres. Il a été l’invité d’honneur de nombreux salons.
Erick Millet : la mer comme horizon intérieur Une passion maritime magnifiquement exprimée sur la toile
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Claude Adelen, un monument de la poésie française Découvert par Elsa Triolet, consacré par le Prix Louis Aragon
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Poète et critique, Claude Adelen, né en 1944 à Paris, traverse plus d’un demi-siècle de vie littéraire française avec une fidélité rare à la poésie. Découvert par Elsa Triolet (épouse du poète Louis Aragon) en 1969 dans « Les Lettres françaises », il a publié depuis une douzaine de recueils, parmi lesquels Bouche à la terre (1975), Légendaire (1977) et L’homme qui marche (Flammarion, 2015), finaliste du prix Kowalski. Membre du comité de rédaction d’Action Poétique dès 1971, il a contri bué par ses chroniques à La Quinzaine littéraire, La NRF et Europe, tout en publiant des essais rassemblés notamment dans L’émotion concrète. Enseignant de lettres en région parisienne avant de s’établir à Montpellier, il a succédé à Jean Joubert à la présidence de la Maison de la Poésie de Montpellier (2016-2018), après lui avoir rendu hommage lors d’une lecture en novembre 2015. Figure discrète mais essentielle, Adelen poursuit depuis le sud une œuvre où pensée et émotion demeurent indissociables. Le travail de Claude Adelen n’est pas pure ment théorique ou académique, mais vise à réveiller une conscience.
Françoise Augustine : l’émotion apaisée Voyage dans un univers de couleurs flamboyantes
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Françoise Augustine dévoile, à travers la peinture, un univers vibrant où la couleur devient un langage de résilience et d'émotion. Derrière une apparente discrétion, elle nourrit depuis toujours une profonde exigence artistique. Ses œuvres lumineuses et sensibles révèlent des portraits de femmes et d'animaux empreints de force et de tendresse. Elle conjugue réalisme maîtrisé et palette intenses, marquées par des rouges profonds et des jaunes éclatants. Sa peinture est un acte de mémoire, une manière de dénoncer la souffrance animale ou d'honorer les oubliés de l'histoire. Chaque regard peint semble traverser la toile pour raconter un destin. Son style affirmé mêle justesse du trait et puissance narrative. Françoise Augustine compose ainsi un monde où la beauté apaise,même dans l'ombre. Françoise Augustine a été récompensée à de nombreuses reprises. En février 2025, elle a obtenu le Prix du Jury Galerie Thuillier – Prix de la Majestic Gallery. En janvier 2023, elle a reçu le Prix du Jury lors de la XXIVᵉ Exposition à la Galerie ESART de Barcelone, et en septembre 2022, la Médaille d’Étain de la Société Arts, Sciences et Lettres de Paris, distinction remise à l’Hôtel Intercontinental Paris Le Grand. La même année, elle s’est vue décerner un certificat de cotation pour son tableau Elsa Art et Design ainsi qu’un 2ᵉ prix du Jury lors de l’exposition Art Show Paris XIV. En avril 2022, elle a reçu le Prix de Carrière Artistique du Collectif International de l’Art en Italie, et en juin 2021, le Prix de parti cipation à l’exposition Reflets de l’eau organisée à Saint-Pétersbourg et au musée d’Izborsk, en Russie. Lauréate à deux reprises du Prix d’encouragement du Luxembourg Art Prize (en 2020 et 2021), elle a également été référencée en octobre 2020 dans l’Annuaire des Artistes Peintres Internationaux de Montmartre, confirmant ainsi sa reconnaissance croissante sur la scène artistique internationale.
Jean-François Violette : entre mer et mémoire De l’Académie des Arts et Sciences de la Mer
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Né en 1951 à Nantes, Jean-François Violette a passé sa petite enfance à Brest. Quand on a un père officier marinier dans la Marine Nationale, une mère dessinatrice de mode, un grand-père ouvrier des Chantiers Navals de Nantes, passionné de peinture, qui vous emmène voir des expositions d’Al bert Brenet, Roger Chapelet, Marin Marie, Etienne Blandin il est évident qu’un jour on aura envie de peindre des marines si on en a le talent. Son grand-père lui a également transmis des articles de presse, affiches d’ar t istes, etc., qu’il, possède toujours ! Il aime raconter l’atmosphère du quai aux bananes à Nantes avec ses immenses navires blancs où son aïeul l’em menait se promener dans sa jeunesse. Autant de traces dans sa mémoire, de sources d’inspirations ultérieures. Docteur es Sciences de l’Université de Nantes, Master Spécialisé en Génie Logiciel il n’a jamais cessé de peindre parallèlement à sa carrière profession nelle. Aquarelliste jusqu’en 2005 il est venu à l’huile dans l’atelier de Jérôme Delépine et l’Atelier d’Art de Conflans Ste Honorine dans le groupe de Corinne Lamoine. Il travaille également avec quelques peintres officiel de la Marine.
Laurence-Emmanuelle Chuine : L’Hirondelle du Danois
Artiste peintre, écrivaine et poétesse accomplie
Voir ses nouvelles toiles ICI
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Laurence-Emmanuelle Chuine est peintre, écrivaine et poète. Elle a grandi dans le nord de la France, étudié aux Beaux-Arts de Valenciennes et de Lille, puis à la faculté de droit de Lille, avant de poursuivre une carrière au Ministère de la Justice. Aujourd’hui, elle partage son temps entre Neuilly-sur-Seine et le Cotentin. Peu importe ses origines ou d’où elle vient, chaque étape de son parcours est profondément ancrée dans un amour de la nature et dans le sens qu’elle souhaite donner à sa vie.
Laurence-Emmanuelle Chuine a régulièrement exposé ses œuvres à Besse-en-Chandesse, Bricquebec, Carteret, Neuilly-sur-Seine, Courbevoie, au Salon des Artistes Indépendants Normands de Rouen, ainsi qu’à la galerie Thuillier dans le 3ᵉ arrondissement de Paris. Ses prochaines expositions sont prévues pour 2025, notamment à la galerie Thuillier, Paris 3ᵉ, et au Japon.
« Le hasard de la vie a fait que la maison dans laquelle j’habite s‘appelle le Danois. J’ai toujours écrit, dessiné, peint depuis que j’ai su tenir un crayon. Je peux maintenant m’y consacrer entièrement. »
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Svetlana Maksimenko : La dialectique du signe
Une poésie de rébellion et de démystification
Svetlana Maksimenko, née en Russie et installée à Courbevoie, déploie une peinture figurative contemporaine habitée par une tension fondatrice : celle entre les structures rigides héritées – sociales, religieuses, culturelles, symboliques – et le besoin profond de lucidité, d’authenticité, de respiration. Formée en linguistique à l’Université de Saint-Pétersbourg, elle entame son parcours artistique par la poésie, avec des textes publiés et remarqués dans plusieurs festivals littéraires russophones. Cet héritage imprègne encore sa peinture : chaque toile se construit comme un poème visuel, une réponse psychosensorielle à une interrogation intérieure.
À Paris, à la faculté de l’Art de l’Image et du Vivant de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, elle approfondit sa recherche plastique, nourrie d’un dialogue constant avec la psychologie existentielle et la philosophie de l’art contemporain.

CEZAR LUNGU
ARTISTE PEINTRE
ŒUVRES DE L’ARTISTE CLIQUER SUR L’IMAGE
Cezar Lungu est un artsite peintre courbevoisien né à Bucarest, en Roumanie. Passionné de street art depuis l’enfance, il a commencé à poser ses premiers dessins et graffitis sur papier à l'âge de 15 ans.
Il a toujours été désireux de peindre, d’interpréter chaque instant de créativité, d’humeur ou de spontanéité avec les couleurs. Également amoureux de la gastronomie, il débute comme chef à Lisbonne, continuant à travailler en parallèle sur ses projets artistiques, les mettant en pratique après son arrivée en France, à Courbevoie.
C’est là que le véritable voyage dans le monde de l’art a démarré, en commençant par fréquenter l’atelier des artistes à Paris. Entouré de personnes merveilleuses et talentueuses, on lui montre ainsi l’horizon de peindre, en utilisant de nouvelles techniques et en faisant appel à de nouvelles idées créatives. Comme support, il utilise le papier, le carton, la toile, LIRE LA SUITE

Zoé Besmond de Senneville : Sourdre
Poétesse, comédienne et artiste pluridisciplinaire française
Zoé Besmond de Senneville, née en 1987 à Paris, est une artiste pluridisciplinaire française : comédienne, poétesse, autrice, interprète et modèle d’art. Issue d’une famille d’artistes, elle grandit à Paris et suit une formation en jeu d’acteur entre la France et les États-Unis, notamment au Stella Adler Studio of Acting à New York. Depuis 2011, elle évolue sur les scènes de théâtre et dans le cinéma, avec des rôles dans des productions telles que Le Petit Poucet de Marina de Van, La Garçonne de Paolo Barzman et Sur la peau de Srinath Samarasinghe.
Sa pratique poétique, qu’elle développe depuis 2015, s’accentue autour des thématiques liées à la surdité, à la vulnérabilité et à la perception sensorielle. Elle a publié dans diverses revues littéraires en France et à l’étranger, et a co-dirigé le collectif Le Bordel de la poésie entre 2015 et 2023. En 2020, Zoé Besmond de Senneville a créé le podcast Journal de mes oreilles, qui relate son expérience de la perte progressive de l’audition due à une otospongiose bilatérale cochléaire. Ce témoignage a été publié sous forme de livre en 2021 aux Éditions Flammarion. En 2024, elle a publié le recueil de poésie Sourdre aux Éditions Maelström reEvolution, accompagné d’un album musical du même nom, réalisé en collaboration avec le compositeur Ernest de Jouy. Ce projet artistique aété soutenu par l’Adami et la Sacem.
Pour découvrir son travail poétique, consultez son site officiel zoebesmonddesenneville.art
Thierry Bruet : l’élégance du pinceau satirique Au-delà des codes de l’art pictural classique
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Thierry Bruet, né à Paris en 1949, artiste peintre et sculpteur depuis plus de 40 ans, propose d’opulents tableaux d’inspiration classique, à la fois plein d’esprit, satiriques et finement observés, qu’il exécute en utilisant les techniques traditionnelles de la peinture à l’huile. Un de ses regards porte vers la caricature, le grotesque, l’autre vers l’élégance, le raffiné. Il a exposé ses œuvres sous le patronage du Ministère Français de la Culture à Metz, au Musée « Thiers » sous le patronage de l’institut de France à Paris, à l’institut du Monde Arabe à Paris, mais aussi des expositions personnelles à Paris, Luxembourg, Londres, Vancouver, Ibiza, Palm Beach. Mais aussi Art Fair Paris 2012 et 2013 et SH Contemporary Shanghai 2014, Luxembourg ARTWEEK 2017 -2018 et 2021. Également Commissionné par les plus grands décorateurs Français tels qu’Alberto Pinto, Frédéric Méchiche , Pierre-Yves Rochon …. On peut trouver ses œuvres chez de nombreux collectionneurs à travers le monde mais également dans de nombreux endroits luxueux et prestigieux : tels que les hôtels George V , Le Bristol, Shangri-la à PARIS, le Chalet du Mont d’Arbois et l’hotel Four Seasons de Megéve, Les Magasins Hermés à Paris ,les hôtels Four Seasons d’Alexandrie, Florence et de Londres.
TOUFIK ABOU HAYDAR
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Toufik ABOU HAYDAR est un écrivain et poète franco-libanais. Il est arrivée en France à l’âge de 19, en 1983, et compte un long parcours dans le domaine du récit romancé et de la poésie.
Toufik a connu son premier succès au début des années 1980 en remportant le deuxième Prix pour son roman « La Foudre du Premier regard » (écrit en arabe littéraire) alors qu'il n’avait que 16 ans. Son talent a été de nouveau salué avec la publication d’un deuxième roman en langue arabe, édité par « Bissan » à Beyrouth en 2006. Ce livre a été chaleureusement accueilli par la presse locale, et sa cérémonie de lancement a été parrainée par le Président de la Cour Constitutionnelle du Liban, le juge Ghaleb Ghanem, une plume de renom au Proche-Orient.
Toufik ABOU HAYDAR a atteint un sommet de reconnaissance avec son premier récit romancé en langue française, « Confidences Passagères », édité par Max Milo à Paris en 2015. Le livre raconte des anecdotes tantôt émouvantes, tantôt drôles, puisées dans l’expérience de l’auteur en tant que chauffeur de taxi de nuit, arpentant… LIRE LA SUITE




















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