RIVAGES CULTURELS
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La revue Rivages Culturels et son site internet sont un hommage à la poésie et à la peinture, mettant constamment ces deux formes artistiques à l’honneur, car elles se marient harmonieusement : les mots deviennent pinceaux et les couleurs s’animent en lettres pour offrir une symbiose artistique unique.
Rivages Culturels s’invite à Hollywood aux côtés de l’artiste Rosana Largo à l’occasion des Oscars
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Article à lire dans le N° 12 (plu
Quel est le lien entre le Centre événementiel de Courbevoie, la cérémonie des Oscars à Hollywood, et Marla Maples – animatrice télé et ancienne épouse de l’ex-président Donald Trump ? La réponse est simple : Rivages Culturels, la petite revue courbevoisienne qui monte… qui monte… Et qui franchit désormais les frontières. Avec Rosana Largo, l’artiste peintre espagnole mondialement connue, Rivages Culturels s’est invitée sur la scène des Oscars lors d’un gala spectaculaire organisé à l’occasion des Oscars, dans le cadre majestueux du Hilton d’Hollywood. Rosana Largo a représenté officiellement l’Espagne dans plusieurs expositions internationales.
Du cœur de Courbevoie aux tapis rouges californiens, la tribune de la peinture et de la poésie qu’est Rivages Culturels, née il y a maintenant quatre ans, continue inlassablement de célébrer la culture sous toutes ses formes, avec audace, curiosité et élégance. Rosana Largo devait assister au vernissage du 4 mars, qui s’est déroulé sous le regard bienveillant de Monsieur le Maire Jacques Kossowski et de son adjointe à la culture, Madame Sandrine Peney, mais sa présence à Hollywood l’en a empêchée.
Rivages Culturels a consacré deux articles au travail de Rosana Largo, mettant en lumière son parcours artistique exceptionnel et ses nombreuses distinctions internationales. Nous la remercions chaleureusement de porter notre revue avec elle, où qu’elle soit dans le monde
Valéry Molet : « L’extrême limite de la nuit »
Une écriture au service de la poésie narrative
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Né le 18 février 1968, Valéry Molet est énarque et historien de formation. Écrivain, il a publié une vingtaine d’ouvrages : romans, nouvelles, essais et poésies. Il a créé et préside les éditions Sans escale depuis 2017 où il publie des poètes et romanciers contemporains, entre autres, Mathias Lair, François Mourelet, Hélène Révay, Pascaline David, Paloma Hermine Hidalgo ou Denise Le Dantec. Il rédige également des articles pour de nombreuses revues (zone critique, le littéraire…). Il vit à Paris.
L’extrême limite de la nuit
Valéry Molet
Préfacé par Jean-Pierre Otte
Les éditions Sans escale
Date de parution 3/11/2024
Lien vers le site de l’auteur : https://www.facebook.com/valery.molet.7
Lien vers les éditions sans escale : https://www.sansescale.com/
Lien vers les revues (quelques ex) : https://zone-critique.com/critiques/orphee-hymnes-discours/

Paola Le Gallo a débuté son parcours artistique par l’étude de la pédagogie Martenot, une approche sensible et exigeante du dessin et de la peinture. Fondée sur l’apprentissage du regard et l’affinement des perceptions, cette méthode développe l’équilibre des formes, la compréhension des volumes et la justesse des couleurs. Elle éveille l’observation, sollicite la mémoire, et met l’accent sur l’expression du vivant. Mouvement, lumière, énergie.
En 2023, son travail a été distingué au 69ᵉ Salon de Charenton, où elle a reçu le Prix du Lions Club de Charenton-le-Pont.
Paola Le Gallo a approfondi sa pratique dans différents ateliers, complétée par une formation intensive en peinture décorative à Versailles. Cette année de travail a été essentielle pour renforcer ses bases en dessin, cultiver la précision tout en explorant la liberté du geste… LIRE LA SUITE dans le N° 12 (plus haut)
Paola Le Gallo, un regard vers la lumière
La rigueur du dessin et la liberté du geste
Article et oeuvres dans le N°12 (plus haut)
La poète Françoise Oriot, née en 1963, a d’abord fait connaître son travail dans des revues papier. Ces publications ont attiré l’attention de plusieurs peintres-plasticiens avec lesquels elle a réalisé une vingtaine d’ouvrages (livres d’artistes, coffrets ou céramique à tirage limité, livrets-cahier…) Puis ce sont les éditions de L’Amourier qui ont accueilli son écriture et l’ont publiée.
Sa grande passion étant la langue française, elle l’enseigne à des enfants non-francophones dans plusieurs écoles de Nice, en et hors REP+. Elle a également animé des rencontres littéraires au Festival du Livre de Mouans-Sartoux.
Une poésie qui, tout à la fois, désire, retient, redoute. Main tendue, certes, mais dans l'incertitude entre saisie, caresse et refus. D'où le trouble dans lequel ces poèmes nous plongent.
Françoise ORIOT : Car l’eau n’éteint pas la lumière
Voler au-delà des limites consenties
L’Amourier éditions
Site : https://www.amourier.fr
Eve de Laudec, née à Paris en 1950 au sein d’une famille d’écrivains et de comédiens, écrit depuis l’enfance. De retour en France après trente années passées en Afrique, elle se consacre à la poésie et à la nouvelle. Parolière, elle participe également à des lectures publiques, ainsi qu’à des rencontres poétiques en collaboration avec des musiciens, peintres et photographes. Ses textes sont accueillis dans de nombreuses revues telles que Le Capital des mots, Ce Qui Reste, FPM, Possibles, Lichen, Recours au poème, L’Ardent Pays, Cairns, Souffles, Écrits du Nord, Phaéton. Elle est membre de la SGDL et de la SACEM.
Le parcours poétique d’Eve de Laudec est souvent nourri de collaborations artistiques. À paraître en 2025, on peut citer Les Dires portant, en dialogue avec la peintre Sophie Brassart (Éditions Tarmac). Également, elle participe à l’anthologie Runes et Ruines, dirigée par Marilyne Bertoncini (Éditions Les Cahiers de Poètes & Co).
Préface de Robert Notenboom ci-dessous
Eve de Laudec : « Les petites pièces rapportées »
Inlassable ravaudage d’une guenille de mots
Chum éditions
Site : https://www.chumeditions.com
Sandrine Kerr, l’intime en héritage
Entre mémoire intime et regard artistique
Sandrine Kerr alias SweatyCream et anciennement SanKerr
TIKTOK : sweatycream sweet
Inspirée par l’univers délicat de Berthe Morisot et Marie Cassatt, Sandrine Kerr explore avec sensibilité les liens familiaux, l’enfance et la mémoire. Peintre-écrivaine diplômée des Beaux-Arts de Paris en 2002, elle façonne ses œuvres comme un dialogue silencieux entre le passé et le présent, entre l’image et la pensée. Son travail, nourri par une profonde observation de l’enfance et des souvenirs qui affleurent, interroge les traces que la famille laisse en nous. Un espace où surgissent les réminiscences et se construisent les pensées. Depuis dix ans, Sandrine transmet également son regard sur l’art en tant qu’enseignante titulaire du CAPES. Cela, en poursuivant son engagement à relier création et transmission.
L’œuvre de Sandrine Kerr s’articule autour de trois thèmes
Le premier thème est La famille, une œuvre de 85 peintures acryliques de format A4. Ce format est adapté à l'économie de moyens, le but étant de rendre précieuses des petites pièces. C'est un travail minutieux et expressif, témoignage d'instants vécus par l'artiste en compagnie de sa famille. La volonté d'être sincère guide ce travail. Il peut sembler parfois sombre et déformé comme l'inconscient. Des planches ont été exposées au Printemps des Artistes… LIRE LA SUITE DANS LE N° (plus haut)
Laurence-Emmanuelle Chuine : L’Hirondelle du Danois
Artiste peintre, écrivaine et poétesse accomplie
Voir ses nouvelles toiles ICI
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Laurence-Emmanuelle Chuine est peintre, écrivaine et poète. Elle a grandi dans le nord de la France, étudié aux Beaux-Arts de Valenciennes et de Lille, puis à la faculté de droit de Lille, avant de poursuivre une carrière au Ministère de la Justice. Aujourd’hui, elle partage son temps entre Neuilly-sur-Seine et le Cotentin. Peu importe ses origines ou d’où elle vient, chaque étape de son parcours est profondément ancrée dans un amour de la nature et dans le sens qu’elle souhaite donner à sa vie.
Laurence-Emmanuelle Chuine a régulièrement exposé ses œuvres à Besse-en-Chandesse, Bricquebec, Carteret, Neuilly-sur-Seine, Courbevoie, au Salon des Artistes Indépendants Normands de Rouen, ainsi qu’à la galerie Thuillier dans le 3ᵉ arrondissement de Paris. Ses prochaines expositions sont prévues pour 2025, notamment à la galerie Thuillier, Paris 3ᵉ, et au Japon.
« Le hasard de la vie a fait que la maison dans laquelle j’habite s‘appelle le Danois. J’ai toujours écrit, dessiné, peint depuis que j’ai su tenir un crayon. Je peux maintenant m’y consacrer entièrement. »
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Svetlana Maksimenko : La dialectique du signe
Une poésie de rébellion et de démystification
Svetlana Maksimenko, née en Russie et installée à Courbevoie, déploie une peinture figurative contemporaine habitée par une tension fondatrice : celle entre les structures rigides héritées – sociales, religieuses, culturelles, symboliques – et le besoin profond de lucidité, d’authenticité, de respiration. Formée en linguistique à l’Université de Saint-Pétersbourg, elle entame son parcours artistique par la poésie, avec des textes publiés et remarqués dans plusieurs festivals littéraires russophones. Cet héritage imprègne encore sa peinture : chaque toile se construit comme un poème visuel, une réponse psychosensorielle à une interrogation intérieure.
À Paris, à la faculté de l’Art de l’Image et du Vivant de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, elle approfondit sa recherche plastique, nourrie d’un dialogue constant avec la psychologie existentielle et la philosophie de l’art contemporain.
Hélène Phung : « Exit »
Dans le sillage de tous ces êtres volants
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D’origine franco-vietnamienne, Hélène Phung a participé très jeune, dès la fin des années 70 à 80, à de nombreux mouvements poétiques underground, principalement en France, mais aussi en Belgique. Publiant sous le nom de Hélène Serpollier, elle publie divers opuscules & recueils chez le Castor Astral, Le Crayon Noir, Polder, etc... et contribue à des revues comme Ecriterre, les Ateliers de l’Agneau, Contreciel, etc... Une rupture d’ordre littéraire et personnel a mis fin pendant une trentaine d’années à toute production écrite.
« Il est l’heure de partir
De retrouver la source des pas
Où commence la soif d’aller
Le souffle des vastes migrations
A traversé nos cœurs soulevé nos ailes
Je voudrais suivre le sillage des anges des oiseaux des insectes
De tous les êtres volants
Qui remontent vers l’invisible... »
Thomas Bossard met en scène l’Humour dans l’Art
L’univers facétieux d’un artiste qui bouscule les codes
Site : cliquez sur l'image
Exposition permanente à la
GALERIE L'AMOUR DE L'ART
MARIE BOREL
67 rue de Seine - 75006 Paris
Site : https://www.lamourdelart.com
Lien instagram : galerielamourdelart
Est-ce son passé de scènographe, d’illustrateur, de story-boarder, de publicitaire et même de créateur de décors de théâtre qui a fait de Thomas Bossard un peintre à multiples facettes que l’on retrouve dans chacune de ses œuvres, de véritables mises en abyme à la fois burlesques et poétiques ? Car Bossard peint au fil de ses toiles des petites fables poétiques drôles et spirituelles, que la dimension esthétique et artistique réhausse de manière très originale.
Ses personnages bonasses et caricaturés, tels les cuisiniers bedonnants et bigleux au nez rouge, parfois grotesques , se promènent de tableau en tableau dans des univers que le peintre aime et connaît bien. Ainsi, les voyons-nous déambuler dans les musées parisiens ou dans les cuisines de grands restaurants où l'improbable survient.
Le tragi-comique de situation est un thème récurrent chez Thomas Bossard : il en use et abuse, provoquant rires et sourires, mais aussi une empathie réelle pour ces personnages attachants et parfois malchanceux.
François Thiéry-Mourelet : Une mosaïque dé louanges
« Crâne-caverne suivi d’Écorces déployées dans la nuit »
Site : cliquez sur l'image
Reporter au Liban, critique aux Nouvelles-Littéraires, responsable de communication, François Thiéry-Mourelet est l’auteur de romans, de pièces de théâtre, de nouvelles, d’albums pour la jeunesse et de livres-jeux. Il est Secrétaire général de la Société des Gens de Lettres.
Chaque poème peut se lire séparément, mais appartient à un ensemble narratif, aussi bien pour Crâne-caverne que pour Écorces déployées dans la nuit. Médiapart dit du poète : « Une plume qui ne manque pas d’air. Humanités languides, laissez-vous décoiffer par une fresque poétique qui a du souffle comme bien peu en ont dans la production contemporaine ! »
Crâne-caverne
Son crâne est une caverne ; il la peint
Sur le lin ou le chanvre, le hêtre ou le peuplier.
Il esquisse, dessine, dilue, empâte, étale
Végétaux animés, animaux végétalisés,
Des organismes longs, plats, ronds, poilus,
Courts, gluants, moisis, peureux, brillants, secs,
Lumineux, inconnus, colorés ou ternes,
Qui se blottissent dans les abîmes de la toile
Ou de sa fontanelle, de ses fosses nasales.

Célia Dunzer : la puissance du détail
Une trajectoire singulière vers l’art
Site internet : www.celiadessinepourtoi.com
Facebook: https://facebook.com/celiadunzer
Célia Dunzer, pastelliste autodidacte, incarne un chemin artistique hors des
sentiers battus, forgée par l’audace et la résilience. Après une vie
professionnelle aux multiples facettes, elle se réinvente en indépendante grâce
au pastel, devenu son médium de cœur. Créatrice libre, elle sillonne la France à
bord de son camion-atelier nomade, avec un but : que son art laisse une
empreinte vraie.
Elle enchaîne salons et distinctions en poursuivant
l’exploration de l’émotion par le regard et la lumière. Aujourd’hui, elle crée des
portraits personnalisés d’après photos.
Dans ce texte, Célia nous offre un aperçu sensible de son univers authentique,
dévoilant les fils intimes qui tissent son parcours et son rapport à la création.
Mon parcours artistique est à l’image de ma vie : complexe et atypique. Il débute a
10 ans, lorsqu’avec un crayon et un livre de photographies, je dessine mon premier
portrait. J’ai grandi en Franche-Comté, dans un environnement sensible à la nature,
à l’écologie, à la psychologie et à la créativité…Des repères qui ont forgé mon regard
et ma manière d’appréhender le monde. Mon chemin professionnel, riche et varié -
social, tourisme, commerce, évènementiel, enseignement- m’a offert une vision
éclectique du monde.
« Artemisia, Héroïne de l’art »
L’art caravagesque
au musée Jacquemart-André
Du 19 mars au 3 août 2025
Du 19 mars au 3 août 2025, le musée Jacquemart-André met à l’honneur l’une des grandes figures du XVIIe siècle : Artemisia Lomi, dite Artemisia Gentileschi (1593-1654).Référence de l’époque baroque, formée par son père, l’artiste toscan Orazio Gentileschi, disciple et ami du Caravage, Artemisia s’est illustrée par une œuvre nourrie en profondeur par l’influence de ce dernier. D’un talent précoce, elle réalise ses premières œuvres professionnelles à seulement quinze ans. Dans un monde de l’art largement dominé par les hommes, Gentileschi fut la première femme admise à l’Accademia di Arte del Disegno de Florence et sut conquérir une clientèle internationale en affirmant sa place d’artiste à part entière.
Artemisia Gentileschi mène une carrière brillante et gagne une renommée internationale, avec des commandes dans toute l’Europe, y compris à la cour de Charles Ier d’Angleterre. Toutefois, malgré un succès éclatant, elle tombe dans l’oubli au XVIIIe siècle. Ce n’est qu’au XXe siècle, grâce à l’émergence de l’histoire de l’art féministe, que son œuvre retrouve l’attention qu’elle mérite.
Sa vie personnelle, marquée par un viol et un procès contre son agresseur, a joué un rôle crucial dans l’analyse de son œuvre, mais ne se résume pas à cette épreuve. Artemisia, à travers ses autoportraits et ses portraits, revendique son indépendance et sa place dans le monde de l’art, ce qui fait d’elle une figure essentielle de l’émancipation féminine.

Retour aux sources poétiques : Toufik Abou Haydar célèbre Symbiose à Zahlé, au Liban
Le 29 mars 2025, l’auteur et poète franco-libanais Toufik Abou Haydar est revenu sur sa terre natale à l’occasion de la parution de son dernier ouvrage, Symbiose. Ce retour avait une résonance toute particulière, puisqu’il s’est déroulé dans la ville de Zahlé, surnommée la Mariée de la Békaa, là même où il a grandi et nourri ses premiers élans poétiques.
À l’initiative du groupe Terminale 82 – formé d’anciens élèves du Lycée des Sœurs Antonines de Zahlé – , une chaleureuse rencontre littéraire s’est tenue dans le cadre raffiné de l’hôtel Kadri. Entouré de ses camarades de jeunesse et d’amis fidèles, Toufik Abou Haydar a partagé avec émotion des extraits de son recueil Symbiose, paru en 2024 aux éditions Acronyme, à Courbevoie, en région parisienne.
Cette rencontre, pensée comme un café littéraire, a été l’occasion d’échanges sincères autour des mots, de la mémoire et de l’appartenance. L’auteur y a évoqué son parcours, sa démarche d’écriture et l’importance pour lui de revenir, livre en main, dans la ville qui a vu naître son amour pour la langue et la poésie.
Un moment agréable, fait de poésie, de retrouvailles et de partage, que l’auteur n’est pas prêt d’oublier.


Marie Bartolini : l’évolution d’une œuvre
Du Fixe sous Verre à l’Acrylique sur toile

Marie Bartolini, née le 9 novembre 1961 à Paris VI, est issue d'une famille d'artistes. Son père, Cyrille Bartolini, sculpteur de renom et lauréat du Prix de Rome, et sa mère, Suzy Bartolini, spécialisée dans la peinture sous verre, lui insufflent dès son plus jeune âge un amour pour l’art. Après avoir obtenu un baccalauréat avec une option artistique, elle intègre l’Université Paris 1 pour y étudier les arts plastiques. Elle poursuit sa formation à l’École des Beaux-Arts de Paris, dans l’atelier de sculpture dirigé par Georges Jeanclos. Marie partage sa vie à Angoulême avec Valéry Quitard, dit Vecu, un peintre avec qui elle entretient un dialogue artistique et personnel.
Après ses études, Marie délaisse la sculpture et choisit d’explorer et de perpétuer la technique rare du « fixe sous verre », une méthode de peinture transmise par sa mère. Cette technique, qui consiste à peindre sur une face du verre et à observer le rendu depuis l’autre face, devient l’une de ses signatures artistiques.
Rapidement, elle est accueillie par la Galerie Benezit à Paris, où elle expose pendant trois décennies, jusqu’à la fermeture de la galerie en 2011. Marie a exposé partout en France. Ce succès lui a permis également d’exposer à l’international, dans des villes comme Londres, Bruxelles, Milan, Washington, Palm Beach, et Carmel, ainsi qu’à Angoulême, où elle réside actuellement. Depuis 2016, ayant abandonné la peinture sous verre, elle se consacre exclusivement à l’acrylique sur toile.

CEZAR LUNGU
ARTISTE PEINTRE
ŒUVRES DE L’ARTISTE CLIQUER SUR L’IMAGE
Cezar Lungu est un artsite peintre courbevoisien né à Bucarest, en Roumanie. Passionné de street art depuis l’enfance, il a commencé à poser ses premiers dessins et graffitis sur papier à l'âge de 15 ans.
Il a toujours été désireux de peindre, d’interpréter chaque instant de créativité, d’humeur ou de spontanéité avec les couleurs. Également amoureux de la gastronomie, il débute comme chef à Lisbonne, continuant à travailler en parallèle sur ses projets artistiques, les mettant en pratique après son arrivée en France, à Courbevoie.
C’est là que le véritable voyage dans le monde de l’art a démarré, en commençant par fréquenter l’atelier des artistes à Paris. Entouré de personnes merveilleuses et talentueuses, on lui montre ainsi l’horizon de peindre, en utilisant de nouvelles techniques et en faisant appel à de nouvelles idées créatives. Comme support, il utilise le papier, le carton, la toile, LIRE LA SUITE
David Twose : l’alchimiste des couleurs et des formes
Un peintre franco-britannique
Site internet : www.davidtwose.com
David Twose, vit et travaille à Paris. Il a été formé dans les ateliers de Jérôme Quèbre (La Grande Chaumière – Paris) et sous la direction du peintre coloriste abstrait Jacques Vigot. Il expose régulièrement dans des galeries et salons parisiens (Salon d'Automne, Salon des Artistes Français…), ainsi qu'à l’international (Chicago, National Art Center de Tokyo, Saint-Pétersbourg, Hermitage-Vyborg Center, Biennale de Venise…).
Twose est représenté aux États-Unis par la galerie Karen Anderer Fine Art (Lancaster, Pennsylvanie).
En 2020, il collabore avec la marque Citroën. La même année, il participe à une exposition organisée par l’ONG MEADOWS, en association avec le bureau de l’UNESCO à Beyrouth. En 2022, il prend part à une installation audiovisuelle présentée à la 59e Biennale d’Art de Venise, au Palazzo Mora.
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MICHEL TEMIM : LE CONTEMPLATEUR URBAIN
UNE TECHNIQUE THÉÂTRALE ASTUCIEUSE ET RAFFINÉE
Michel Temim, né et travaillant à Paris, est un artiste autodidacte qui, fort de plus de trois décennies d’expérience, a su développer une technique classique hautement raffinée. Son œuvre se distingue par une authenticité exceptionnelle. Elle symbolise l’originalité mêlée à une séduction visuelle riche en couleurs.
Pour donner vie à ses œuvres, Michel Temim utilise une palette colorée, travaillant aussi bien à l’huile qu'à l’acrylique. Sa technique met en valeur un monde un peu passé, presque suranné, qui rappelle l’esthétique des anciens manuels scolaires. Ce choix stylistique crée un espace de contemplation pacifique, sans visée dénonciatrice, offrant au spectateur la liberté d'une interprétation personnelle et singulière.
Michel Temim arpente les rues de la capitale avec un regard contemplatif et une curiosité picturale insatiable. Déterminé à saisir et à représenter la subtile originalité du quotidien avec une précision et une sensibilité sans égales, il n’hésite pas à pousser les portes des bistrots et des lieux typiquement parisiens jusqu’à tomber sur la scène la plus séduisante qui puisse s’offrir à son regard artistique.
Ses toiles prennent vie dans des décors urbains variés, allant des vieux cafés aux gares, en passant par les scènes de rue.
Bazoche : l’art de magnifier la douceur
Une peinture admirablement lisse et épurée
Site internet : Cliquez sur l'image
Bazoche, artiste peintre autodidacte, vit dans un petit village du Périgord. Il nous propose une peinture narrative, puisant son inspiration dans la bande dessinée, le cinéma, la photographie, et les scènes de la vie quotidienne. Par sa palette de couleur douce et le choix de ses thèmes, il nous attire dans un monde qui n’est pas vraiment là, empreint de nostalgie et de rêverie. Ses œuvres ne sont pas une représentation de la réalité, mais plutôt une mise en scène d’images qui ont marqué l’artiste.
Bazoche est un artiste dont le style de peinture, lisse et doux, incarne la pureté visuelle. Dans ses toiles, les traits des personnages et des objets s’effacent pour ne laisser place qu’à l’essentiel. En dépouillant chaque scène de détails superflus, il donne à ses œuvres une vision épurée. Ses sujets parlent du sublime, de l’âme apaisée.
La technique de Bazoche se distingue par une fluidité et une douceur expressives, s’offre à travers une finesse intellectuelle consentie. En effaçant les contours traditionnels et en jouant avec des nuances délicates, l’artiste transmet des scènes qui semblent flotter entre rêve et réalité. On parle d’œuvres qui se lisent comme des chroniques silencieuses, comme des histoires rassurantes, aussi bien pour l’esprit que pour les yeux. On parle ici d’émotions partagées, de voyages attendrissants, de regards intérieurs conduisant vers un apaisement solennel.

EN PRÉSENCE DE MADAME ANA REDONDO, MINISTRE ESPAGNOLE DE L’ÉGALITÉ, L’ARTISTE PEINTRE ROSANA LARGO REMERCIE RIVAGES CULTURELS
Le mercredi 15 mai 2024, la ministre espagnole de l’Égalité, Ana Redondo, accompagnée du sous-délégué du gouvernement de Palencia, Monsieur Ángel Domingo Miguel Gutiérrez, et du maire de la commune, Monsieur Luis Antonio Calderón Najera, a visité le Musée des Contes et des Sciences (MCYC) à Paredes de Nava, Palencia (Espagne). Ce musée, créé par l’artiste Rosana Largo, fêtait son deuxième anniversaire. Il a été conçu pour rendre hommage aux femmes dans la littérature et la science, avec l’art artisanal de Madame Largo comme fil conducteur.
La mairie de Paredes de Nava promeut activement ce musée sans précédent et œuvre en permanence pour faire découvrir cette nouvelle institution culturelle au public. Le travail de Rosana Largo, déjà reconnu à l’international, bénéficie d’une promotion exceptionnelle, signe évident de l’importance et de l’attrait mondial de ce musée innovant.

TAREK : ENTRE PINCEAU ET RING
LE PARCOURS D'UN ARTISTE TUNISIEN À PARIS
SITE : ARTEK – GALERIE LIBRE EST L'ART (GALERIE-LIBRE-EST-LART.COM)
INSTAGRAME : @ARTEK.PEINTURE
DÉCOUVRIR SES OEUVRES
Né le 9 septembre 1993 à Sfax, dans le milieu Est de la Tunisie, Tarek a baigné dans l’atmosphère unique de ce quartier de pêcheurs tout au long de son enfance. Issu d’une famille de pêcheurs, il a rapidement pris l’habitude d’accompagner sa mère ou son grand-père en mer après l’école, contribuant ainsi au soutien financier de sa famille.
Parallèlement à son immersion dans le monde de la pêche, Tarek a découvert sa passion pour les sports de combat à l'âge de 18 ans, se lançant dans la boxe chinoise et le kickboxing. À 22 ans, il a également exploré son côté artistique en commençant à dessiner sur les murs de sa chambre. C'est à ce moment précis qu'un talent artistique véritable a émergé, transformant sa vie.
Après avoir obtenu son bac technique, Tarek a pris une décision audacieuse : se consacrer pleinement à ses deux passions, les sports de combat et la peinture. Face aux défis financiers et professionnels en Tunisie, il a pris la décision courageuse de rejoindre sa tante à Paris à l'âge de 25 ans, avec l'espoir de vivre de son art et de poursuivre sa carrière dans les sports de combat.
Inscrit dans une salle de MMA à Paris, Tarek a rapidement attiré l'attention pour sa rapidité et sa concentration. Des opportunités professionnelles dans le MMA se sont présentées, mais malheureusement, la pandémie de Covid-19 a mis un frein brutal à ses projets sportifs. C'est à ce moment que Tarek a redirigé son énergie vers son talent artistique.
Sabine Zuberek : « La lente obsession des choses »
Balades sur la route des souvenirs lointains
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Sabine Zuberek vit et enseigne à Lille. Agrégée de Lettres modernes, elle collabore à différentes revues en tant que poète et critique littéraire. La lente obsession des choses est son premier livre. Elle a co-fondé avec une amie l’association Les Amis de Pierre Dhainaut et co-créé avec elle Le Prix Pierre Dhainaut du livre d’artiste pour le public scolaire de l’Académie de Lille.
Sabine Zuberek ouvre le bal avec ce premier recueil. Dès les premières pages, se révèle une voix poétique riche en promesses. La musicalité de ses vers, d’emblée, vous saute aux yeux avec une précision millimétrée : « L’œil a soif », fit-elle. Les vers sont brefs mais chargés de sens. La magie de ses poèmes réside dans l’utilisation maîtrisée de la structure fragmentée, une forme soigneusement calculée. Ce choix stylistique, loin d’être un simple effet de mode, ne réussit pas à tout le monde. Sculpter un rythme syncopé, tout en ajoutant une profondeur nouvelle à la signification imaginaire, n’est pas une simple affaire. Dans cette fragmentation des vers, la poétesse tente et réussit une exploration du non-dit, un jeu d’équilibrisme entre le texte et le silence, entre le rythme et la signification, entre l’espace vide et le lieu d’écho. Zuberek manie cette technique avec une habileté remarquable.

LA VIE PRÉCIEUSE
PAR YRSA DALEY-WARD
TRADUCTION DE L’ANGLAIS PAR JULIA KERNINON
ÉDITIONS © LA CROISÉE,
UN LABEL DU GROUPE DELCOURT
SITE INTERNET : EDITIONS-LACROISEE.FR
LIRE L’ARTICLE DE RIVAGES CULTURELS
Écrivaine, mannequin et actrice anglaise, Yrsa Daley-Ward a connu un succès retentissant avec la publication de La Vie précieuse (2018 chez Penguin), qui a été saluée tant par la presse que par les lecteurs. Elle a ensuite enchéri avec les œuvres The How et Bone. En 2020, elle a également collaboré avec Beyoncé pour le film et l’album « Black is King ». Ses textes poétiques suscitent un vif intérêt sur les réseaux sociaux (@yrsadaleyward).
Yrsa Daley-Ward a été honorée du prestigieux « Pen Prize du meilleur roman autobiographique », un titre décerné parmi les nombreux prix littéraires attribués chaque année par les 145 centres PEN internationaux répartis dans le monde.
Le dossier de presse, les visuels et l’ouvrage La Vie précieuse ont aimablement été fournis par les éditions © La croisée,
un label du groupe Delcourt, 2024, pour la présente traduction
Valéry Quitard : sous le pseudonyme de « Vécu »
Une Carrière Tissée aux Quatre Coins du Monde
Site : Cliquez sur l'image
Vécu, pseudonyme de Valéry Quitard, peintre autodidacte, né le 26 juin 1960 à Perpignan en France et résidant à Angoulême. Son médium de prédilection est la peinture à l’huile.
Il travaille avec plusieurs galeries tant en France qu’en Europe et aux USA (Angleterre, Hollande, USA) et a exposé également en Belgique, Allemagne, Suisse, Tchéquie, Portugal et Espagne ainsi que dans les principaux salons historiques parisiens et de nombreux autres en France.
La discipline de Vécu, trait d’union entre une forme de magique-réalisme et de pop-surréalisme, puise dans la culture et l’iconographie populaire ainsi que dans l’imagerie d’Epinal. Valéry Vécu-Quitard y apporte une touche d’onirisme, de naïveté, de tendresse et de symbolisme.
Sa peinture, à la subtile palette, mêle le détail baroque à la poésie, un univers passéiste et puéril à un surréalisme modéré. D’une facture précise aux modelés moelleux, sa peinture rassure et séduit le spectateur par la douceur et la nostalgie qui s’en émane.

LUBA YAKYMTCHOUK : LES ABRICOTS DU DONBAS
LAURÉAT DU PRIX INTERNATIONAL DE POÉSIE DE LA FONDATION KOVALEV DE NEW YORK
Née en 1985 dans la région du Donbass, Luba Yakymtchouk, également connue sous le nom de Lyubov Vasylivna Yakymchuk, vit à Kiev. Poétesse, dramaturge et scénariste ukrainienne engagée contre la guerre, elle a reçu de nombreux prix : le prix Bohdan-Igor-Antonytch (2008), le prix Vassyl-Symonenko de l’Union nationale des écrivains d’Ukraine (2010), le prix international de poésie slave (2013), le prix de la fondation américaine Kovalev (2017) et le prix Yakiv-Halchevskyi (2018). Elle est également lauréate du concours littéraire international Coronation of the Word en 2013.Ses écrits, traduits à ce jour en 20 langues, ont été publiés dans des revues et magazines du monde entier.
Luba Yakymtchouk est la première poétesse de tous les temps à avoir récité un poème lors des Grammy Awards de 2022.
Ce recueil est paru en livre audio en 2024 dans la collection « La Bibliothèque des voix ». Il est lu par Catherine Deneuve et l'autrice.
DP, recueil et visuels : service de presse des © éditions des femmes - Antoinette Fouque
Thierry Bruet : l’élégance du pinceau satirique Au-delà des codes de l’art pictural classique
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Thierry Bruet, né à Paris en 1949, artiste peintre et sculpteur depuis plus de 40 ans, propose d’opulents tableaux d’inspiration classique, à la fois plein d’esprit, satiriques et finement observés, qu’il exécute en utilisant les techniques traditionnelles de la peinture à l’huile. Un de ses regards porte vers la caricature, le grotesque, l’autre vers l’élégance, le raffiné. Il a exposé ses œuvres sous le patronage du Ministère Français de la Culture à Metz, au Musée « Thiers » sous le patronage de l’institut de France à Paris, à l’institut du Monde Arabe à Paris, mais aussi des expositions personnelles à Paris, Luxembourg, Londres, Vancouver, Ibiza, Palm Beach. Mais aussi Art Fair Paris 2012 et 2013 et SH Contemporary Shanghai 2014, Luxembourg ARTWEEK 2017 -2018 et 2021. Également Commissionné par les plus grands décorateurs Français tels qu’Alberto Pinto, Frédéric Méchiche , Pierre-Yves Rochon …. On peut trouver ses œuvres chez de nombreux collectionneurs à travers le monde mais également dans de nombreux endroits luxueux et prestigieux : tels que les hôtels George V , Le Bristol, Shangri-la à PARIS, le Chalet du Mont d’Arbois et l’hotel Four Seasons de Megéve, Les Magasins Hermés à Paris ,les hôtels Four Seasons d’Alexandrie, Florence et de Londres.

NATALIA SIMONIAN : DES NUANCES DE MIEL
L’ART DE DONNER VIE À LA NATURE FIGÉE
« J’ai grandi dans la nature, dans les champs de blé et de tournesol, dans les steppes de Rostov-sur-le-Don. J’ai vécu comme une petite sauvage, les pieds nus et noircis par le tchernoziom des plaines où mon grand-père récoltait le miel de ses ruches. C’est dans ces terres riches que se trouvent les meilleurs souvenirs de mon enfance. Je me souviens de la belle agitation qui régnait dans la maison de mes grands-parents. Comment pourrais-je oublier les blagues et le rire de grand-père, la démarche frénétique de grand-mère toujours occupée mais gaie, rayonnante, généreuse. Du soleil ! Oh ! Le soleil ! Des couleurs pétillantes, des arômes de pâtisserie, le bruit de la pluie d’été sur les fenêtres, les pieds nus dans les flaques chaudes, la luzerne, les fleurs, la fragrance des belles-de-nuit et des giroflées au crépuscule. Ce sont tous ces moments de bonheur et d’harmonie que je tente de mettre dans mes œuvres. »
Par Philippe Menestret, juin 2024

JACQUES CAUDA : L’HOMME AUX INNOMBRABLES FACETTES
POÈTE PLURIDISCIPLINAIRE OU ARTISTE VISIONNAIRE ?
LIRE L'ENTRETIEN DANS RIVAGES CULTURELS N° 9
Jacques Cauda, né le 9 juillet 1955 à Saint-Mandé dans le département de la Seine, est un personnage aux multiples talents : peintre, écrivain, poète, éditeur, photographe et documentariste. Dès 1978, après avoir suivi des études de philosophie à la Sorbonne ainsi que de cinéma au Conservatoire Libre du Cinéma Français (C.L.C.F.), il réalise une trentaine de documentaires pour les télévisions française, algérienne et canadienne. En 1998, il met fin à sa carrière de documentariste pour se consacrer à la peinture et fonder le mouvement « surfiguratif », un courant où l’artiste est appelé à peindre des sensations issues de la représentation rétinienne plutôt que du réel lui-même. Ses œuvres sont exposées à Londres, Amsterdam, Bruxelles, Genève et Paris.
Jacques Cauda a écrit une cinquantaine de livres : poésies, romans, polars, essais, manifestes, correspondances, et livres d’artiste. Il a reçu le prix spécial Joseph Delteil pour Ici le temps va à pied (poésie), une mention spéciale de l’Institut Académique de Paris (poésie), et le grand prix de la ville du Pecq pour Lou (nouvelle).
Il dirige également la collection « LA BLEU TURQUIN » aux Éditions Douro.
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MARTINE GRÉGOIRE : LA DÉLICATESSE DE LA VIE
UNE BELLE PALETTE DE DOUCEUR ET DE PASSION
Martine Grégoire, artiste cotée Akoun, consacre depuis plus de quinze ans sa vie à une passion dévorante : la peinture. Grâce à des années de cours à l’Atelier l’Arbre ô Couleurs, de stages avec des artistes de renom tels que Casimir Ferrer et Isabelle Sarian, et une pratique quotidienne, elle a su affiner sa technique et définir un univers artistique unique.
Martine privilégie la peinture à l’huile pour sa texture soyeuse, idéale pour créer des camaïeux et des fondus aux couleurs douces et poudrées. Ses œuvres se distinguent par une transparence et une délicatesse qui procurent aux spectateurs un sentiment de bien-être et de douceur.
L’artiste enchante avec ses portraits femmes, ses fleurs délicates et ses paysages marins. « J’aime que chaque tableau ait une ambiance », confie-t-elle.
ROSANA LARGO : LE FABULEUX HÉRITAGE DU GÉNIE ESPAGNOL
DANS LA LIGNÉE DE VELÁZQUEZ, GOYA, RIBERA ET DALI
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Rosana Largo, originaire de Valladolid, en Espagne, a suivi des études en droit, mais sa passion pour l’art a fleuri dès son plus jeune âge dans la librairie de ses parents, la « Boutique del cuento ». Son approche novatrice de la réinterprétation des récits et son style artistique contemporain lui ont valu une reconnaissance internationale, la propulsant à représenter son pays lors des expositions mondiales les plus prestigieuses. Son œuvre exceptionnelle a été récompensée dans les quatre coins du globe. Parmi ses distinctions, on compte le Prix international de peinture Michel-Ange à Rome, le Prix Da Vinci à Florence, le Prix Giotto au Portugal, le Prix Dante Alighieri à Padoue, ainsi que le prestigieux New York City Award.
En 2023, Rosana a achevé une gigantesque fresque murale dans l’emblématique Times Square de New York, aux États-Unis, et a exposé au Louvre à Paris. Actuellement, elle assure la gestion de deux musées qui lui sont dédiés, l’un à Urueña (Valladolid) et l’autre à Paredes de Nava (Palencia, Espagne).
PASSER L’ÉTÉ
IRÈNE GAYRAUD
ÉDITIONS LA CONTRE ALLÉ
SITE INTERNET : LACONTREALLEE.COM
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Irène Gayraud est née à Sète en 1984. Elle est écrivaine, poétesse, traductrice et maîtresse de conférences en littérature comparée à Sorbonne Université. Elle a publié un roman, Le Livre des incompris (Éditions Maurice Nadeau, 2019), et quatre livres de poésie : À distance de souffle, l’air (Éditions du Petit Pois, 2015) ; Voltes (Al Manar, 2016), Point d’eau (Le Petit Véhicule, 2017) et Téphra (Al Manar, 2019). Ses textes sont publiés dans de nombreuses revues françaises et internationales, ainsi que dans des anthologies et des collectifs.
Avec Christophe Mileschi, Irène a traduit les œuvres poétiques de Dino Campana (Chants Orphiques et autres poèmes, Points Poésie, 2016). Elle est en outre membre de l’Outranspo (« Ouvroir de translation potencial »). Elle a traduit la poétesse chilienne prix Nobel de littérature Gabriela Mistral (Essart, Éditions Unes, 2021 ; Pressoir, Éditions Unes, 2023), ainsi que des poèmes du cinéaste chilien Raoul Ruiz (Rusticatio Civitati Piratarum, Éditions Unes, 2023).

MYETTE RONDAY : LENTS RESSACS
DE L’ÉCRITURE ROMANESQUE À LA POÉSIE
Myette Rondade a animé des ateliers d’écriture dans les universités espagnoles avant de se consacrer à sa propre écriture et à l’intrigue romanesque. Elle est, notamment, l’auteur de Comment devenir une mante religieuse quand on a des réflexes de fourmi, Madame Robinson, Le Vélo de Berkowitz, parus chez Flammarion, Arnal et la gauchère et Un héritage d’amour chez Complicités. Lents ressacs est le premier recueil de poèmes d’une romancière.
Dans son premier recueil de poésie, Myette Ronday aborde des thèmes profondément liés à l’indéfectible désir de vivre. Animée par une double appartenance à soi-même et au monde extérieur, elle fait savoir que ce désir se manifeste par la reconnaissance de notre parcours personnel tout en étant partie intégrante de l’univers qui nous pousse à agir. Cela indique une coexistence harmonieuse entre l’identité personnelle et la connexion avec l’environnement existentiel.
DU SABLE À LA MER
NELLY FROISSART
SANS ESCALES
SITE INTERNET : SANSESCALE.COM
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Née en 1980, Nelly Froissart évolue dans le monde de l'éducation en tant que professeur des écoles, une profession qui témoigne de sa volonté de transmettre et de partager son savoir. Sa formation initiale en lettres modernes et en arts du spectacle reflète son amour pour les mots et la scène, deux domaines qui ont façonné son parcours.
Mais ce qui distingue véritablement Nelly, c’est sa passion pour l’écriture et le théâtre. Son temps libre est consacré à ces deux passions, où elle laisse libre cours à son imagination et à son talent.
Son premier recueil, intitulé Du sable à la mer, est le fruit de ses réflexions acharnées et de sa sensibilité artistique. À travers ses écrits, elle nous fait découvrir une stratosphère où les mots s’envolent harmonieusement pour raconter des histoires profondes, pour bousculer toute passivité ambiante.
CHRISTOPHE BLANC : « FRAGMENTS D’HUMANITÉ »
LA RÉSILIENCE DES ÂMES EN CLAIR-OBSCUR
GALERIE L'AMOUR DE L'ART
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Christophe Blanc est né en 1968 à Colmar (France). Après des études d’architecture, il se consacre entièrement à sa passion, la peinture. Son sujet, c’est l’Humain, en tant que tel, une fois gommées les différences, pour en extraire ces fragments d’humanité qui se lisent sur les visages à travers les regards et les expressions. Ces portraits sont toujours fictifs, ne figurant pas tant un homme qu’une humanité allégorique. D’une part, des tablées hédonistes, figurant le plus souvent une fin de fête, évoquent une explosion de vie dyonisiaque. De l’autre, de choeurs à l’unisson appellent à une spiritualité transcendantale et ascétique en quête du beau apollinien. Ces derniers répondent aux chants de camaraderie éméchée des scènes de tablée et proposent une alternative aux joies du banquet. Sur chaque toile, au moins un personnage regarde le spectateur et semble l’interroger : de quelle manière souhaite-t-il suivre le cours inexorable de la vie ?

JEAN-PIERRE OTTE : L’IMMUNITÉ MERVEILLEUSE
UNE RÉFLEXION POÉTIQUE CHARGÉE D’ONDES POSITIVES
Jean-Pierre Otte, que la critique a comparé à Cioran et à Ernst Jünger, est l’auteur d’ouvrages consacrés aux cosmogonies des civilisations tribales, aux rituels amoureux du monde animal, ainsi qu’aux événements de «la vie personnelle» (Robert Laffont, Seghers, Julliard, Les Belles Lettres,…). Prix Max Jacob 2023.
Jean-Pierre Otte, poète visionnaire et témoin lucide de notre époque, revient avec un nouvel ouvrage saisissant. Dans un monde qu’il décrit comme « malade au dernier degré », il observe et dépeint une humanité souffrante, vilainement substituée à elle-même. Son œuvre récente est une exploration vaillante des maux de notre société. Tout en proposant des remèdes poétiques, ses réflexions préservent avec brio l’équilibre entre l’esthétique et l’éthique de son originalité. Les mots de Jean-Pierre Otte sont chargés de la gravité d’une résilience collective contre cette époque où des vents délétères soufflent incessamment sur la terre. L’idée est que la délivrance de l'être se fasse en douceur et sans heurts.
CIELS, VISAGE
SEREINE BERLOTTIER
ÉDITIONS LANSKINE
SITE INTERNET : EDITIONS-LANSKINE.FR
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Sereine Berlottier est écrivaine. Elle a publié un roman, des récits et des livres de poésie, ainsi que des textes dans de nombreuses revues. Membre du site littéraire Remue.net, elle participe régulièrement à des lectures publiques, parfois accompagnée de musiciens, et à des projets collectifs. Parmi ses publications : Nu précipité dans le vide (Fayard, 2006), Louis sous la terre (Argol, 2015), Au bord (Lanskine, 2017), Habiter, traces & trajets (Les Inaperçus, 2019), Ciels, Visage (Lanskine, 2019). Son dernier livre Avec Kafka, cœur intranquille (Nous, 2023) a reçu le prix Kowalski, grand prix de la poésie de Lyon en 2024. Son site : https://sereineberlottier.net/

JEAN-CLAUDE BEAUMESNIL
COULEURS, LUMIÈRE ET POÉSIE
Ancien informaticien, Jean-Claude Beaumesnil peint depuis la retraite. Sa passion, il s’y consacre pleinement maintenant. Il est membre actif de « La Fabrique des Arts de Courbevoie » et participe régulièrement à des expositions collectives avec l’association (Printemps des Artistes, Espace Carpeaux etc). À titre personnel également… Il cumule les événements : Salon de Peinture de Serquigny, Fabrique de la Risle de Beaumont le Roger, Journées du Patrimoine, Carré des Arts du Bec-Hellouin dans l’Eure, et ainsi de suite…
Passionné par la peinture depuis toujours, j’ai dû attendre la retraite pour m’y consacrer à plein temps… Aquarelle, huile ou acrylique, j’aime peindre des portraits ou des paysages pour exprimer mes impressions, ma sensibilité, mes émotions, et faire rêver, voyager et découvrir des personnages saisissants de vérité ou des lieux pleins de couleurs, de lumières et de poésie…
JE NE RENDRAI PAS LE FEU
ALAIN BRETON
ÉDITIONS LES HOMMES SANS ÉPAULES
POÉSIE – 170 PAGES
SITE : LESHOMMESSANSEPAULES.COM
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Alain Breton est né en 1956 dans la capitale. Après des études à la Faculté des Beaux-Arts de Paris, il se forme à toutes les dimensions de l’édition de poésie et collabore un long temps à la revue Poésie 1. Il a publié une quinzaine de recueils de poèmes, quelques anthologies (dont Les Nouveaux Poètes maudits, préfacée par André Pieyre de Mandiargues, et Drôles de rires — un livre-disque anthologique de l’humour contemporain, en collaboration avec Sébastien Colmagro). Il fait partie, en compagnie de Christophe Dauphin et de Paul Farellier, du comité de rédaction de la revue Les Hommes sans Épaules.
De recueil en recueil, l’auteur a caressé la maison onirique, évoqué l’univers des pirates, dit l’amour et l’humour tout en fêtant le règne naturel contre l’emprise des villes, en se donnant pour but d’édifier son visage dans l’œuvre en marche afin de concilier « la poésie et la vérité ». Ici, l’écriture prête allégeance au lyrisme dans la recherche d’une pacification. Le constat de ce qui est perçu des sensations, liesse et amertume, fait aussi parler l’enfance, chanter la Beauté et pleurer les plaies universelles. Mais, pour Alain Breton, si la poésie est essentiellement un « événement d’être et de langage », elle doit avoir pour but de nous faire entrer dans le jardin des métamorphoses.
Voici donc, deux ans après Je serai l’assassin des asphodèles, le dernier recueil d’un auteur qui retrouve un peu le ton, l’effervescence de Ça y est, le monde, dans un va-et-vient nerveux mais nourri de fantaisie, entre le poème d’amour et de colère, les mythes et les légendes, l’érotisme et la mort— avec des tentatives d’autoportrait.
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SANDRINE DAVIN : ÉCHOS POÉTIQUES
L’AMBASSADRICE DES TANKAS CONTEMPORAINS
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Sandrine DAVIN, née le 15 décembre 1975 à Grenoble (France), est une poétesse contemporaine passionnée par l’art des tankas. Toujours fidèle à ses racines grenobloises, elle puise son inspiration dans les paysages et les atmosphères de sa ville natale.
Avec une carrière riche de seize recueils de poésie à son actif, dont le dernier, intitulé Verrous, publié aux éditions Z4, elle s’est imposée comme une voix majeure de la poésie contemporaine française.
Son œuvre explore les thèmes universels avec une sensibilité particulière et offrent aux lecteurs une expérience émotionnelle réfléchie.
Au-delà de son travail d’écriture, Sandrine DAVIN s’investit activement dans l’éducation et la transmission de sa passion. Ses ouvrages sont étudiés dans des classes de l’enseignement primaire et au collège, où elle intervient régulièrement pour partager son savoir et sa passion avec les élèves. Son engagement envers la promotion de la poésie auprès du jeune public se manifeste également par son désir ardent de susciter chez eux le désir d’écrire et de s’exprimer à travers les mots.
Le regard de la poétesse sur la vie est chargé d’humanité. Sa plume révèle un monde où la sensibilité humaine reste le cœur battant de l’existence.